En Guadeloupe

La Guadeloupe, Gwada en créole doit nous rendre un peu lymphatiques car nous remettons depuis un moment le travail sur le blog, mais ça y est, on s’y colle.

Naviguer sous le vent des Îles est facile, restent les canaux entre elles où il y a toujours du vent, ce sera le cas entre la Martinique et la Dominique et entre celle ci et l’archipel des Saintes, où nous voulons faire nos papiers d’entrée. Nous avions rencontré aux Canaries et aux grenadines, deux couples qui nous avaient dit qu’ils ne s’arrêtaient plus aux Antilles françaises, trop difficile l’administration. C’est faux, d’une part c’est gratuit, même pour les étrangers et d’une simplicité à toute épreuve. On peut bien sûr aller aux douanes, mais plus facile, vous pouvez faire une déclaration par internet, soit chez le ship, soit dans un café… Vous trouverez toujours quelqu’un qui sait et vous dira où.
Nous mouillons à L’anse Galet, il y a des bouées partout et peu finalement car pendant la saison, elles sont parfois toutes prises à partir de la fin de la matinée. Cela roule un peu à l’endroit où on peut mouiller et, finalement, nous prenons une bouée.

L’archipel de la Guadeloupe est composée de 6 îles volcaniques habitées. Le papillon de la Guadeloupe ( Basse Terre et Grande Terre, les ailes séparées par la rivière salée. Les îles de la Désirade, Marie Galante,puis Terre de Haut et Terre de Bas qui composent les Saintes
Une grande richesse de milieux et de paysage. Deux saisons, le carême de janvier à juin et l’hivernage de juillet à décembre, saisons des dépressions tropicales qui se transforment en tempêtes, voire en cyclone( hugo en l989, Marilyn en 1995)

Une identité originale des différents apports ethniques et un fort métissage ( noirs, mulâtres, anciens esclaves venus d’Afrique, blancs pays , petits nobles, cadets de nobles de métropole sans terre, et des engagés volontaires, indiens arrivés des comptoirs français de l’Inde, Syriens et Libanais, vietnamiens, pieds noirs d’Algérie, français de métropole installés plus ou moins temporairement ( fonctionnaires, cadre d’entreprise) cette communauté cohabite sans trop de souci généralement. L’esclavage a toutefois beaucoup pesé sur cette cohabitation.

La Guadeloupe a un passé agricole, (canne à sucre, banane, café). La Banane a d’ailleurs posé un gros problème écologique et cela continue.j’en parlerai plus tard.

Le café considéré comme l’un des meilleurs au monde et mélangé à d’autres servait à améliorer l’arôme. 25OO tonnes en 1785 , 5O tonnes aujourd’hui. Cette économie agricole est aujourd’hui en perte de vitesse et quand on demande pourquoi, on nous répond : c’est très difficile de vivre et de travailler ici, vous ne pouvez pas comprendre, cependant, plusieurs agriculteurs guadeloupéens ont replanté de l’arabica et tentent de mettre en place une appellation d’origine contrôlée «  arabica pur Guadeloupe ».

On ne peut pas passer aux Antilles sans parler du rhum. La Guadeloupe connaît un climat propice à sa culture : fort ensoleillement et beaucoup d’eau.
La canne à sucre est introduite aux Antilles par les colons européens. C’est le fameux révérend père Labat qui a l’idée d’importer un alambic pour adapter le principe de la distillation au jus de la canne à sucre. Dès son débarquement en 1694, il est terrassé par une forte fièvre. Selon des sources historiques, il fut sauvé par une décoction composée d’un alcool méconnu : l’eau de vie qu’on tire des cannes qu’on appelle guildive. Il existait 55 distilleries en Gwada ( Guadeloupe) en 1939, restent 9 aujourd’hui.
Le rhum agricole est fabriqué directement à partir du vesou, jus de la canne à sucre frais, le rhum industriel ou traditionnel est tiré de la mélasse, sous produit de la canne à sucre.

Youen arrive dans quelques jours et nous partons pour la marina rivière Sens pour l’attendre. Voisin sympa, livraison du rhum la belle Cabresse pour Philippe un ami d’Alain rencontré en Guyane. Youen n’est pas encore arrivé que nous sommes invités pour une raclette chez Philippe.

Nos vacanciers arrivent tard, on papote un peu, puis on se couche. Le décalage horaire est là, il fera jour demain.

Bonne nuit à tout le monde. Hélas, Youen débute une turista, Emerik une allergie à l’anti-moustique. Pauvre petit bonhomme. Il n’échappera pas lui non plus à la turista. Je ne résiste pas à son analyse de celle ci. Je dois prendre des médicaments, car mon « caca » est cassé.

Nous partons malgré tout à l’anse à la barque. Youen commence ses trois semaines de plongée. Ah l’eau est plus chaude qu’aux Canaries. Heureux, il est heureux, mais le serait encore plus s’il pêchait, l’eau est trop claire sans doute.

Notre petit fils a bien changé depuis un an. Un vrai moulin à paroles. En plus il est en pleine crise du non. Cela nous rappelle nos croisières avec les enfants. Il demande une grande attention. Un peu bernique avec son papa au début, il reprend ses marques avec nous, il passe beaucoup de temps dans l’eau, on sent bien qu’il s’y sent à l’aise. Il plonge avec papa et papo et fait la grenouille avec mamé, plus près du bord dans la petite mer (mer calme) rame avec papo.

Nous remontons la côte sous le vent jusqu’à l’anse Deshaies car aux iles Pigeon, réserve, il y a plus de plongeurs que de poissons. En revenant peut être, tôt le matin. Youen plonge, plonge, il se régale, mais toujours pas de poisson à bord. Il ne comprend pas. Il récupère une flèche à la côte. Et Miracle, il pêche 2 poissons.

Trois semaines c’est court, et nous voulons absolument aller aux Saintes. On redescend en s’arrêtant à Petite Anse. Les fonds sont beaux. JM a un problème de sinus. Nous allons à la plage avec notre petit chenapan. On se moque un peu de lui, Emerik tu fais le mérou! Non ! Par contre, il se comporte comme un vrai moussaillon, aucun souci dans la grande mer, comme il dit, ni dans le canal, Guadeloupe-Les Saintes, sage comme son oncle et son papa petits. Il sait bien quand on ne peut pas s’occuper de lui.

Il marche comme un chef, en faisant un peu le coquin au fort Napoléon. Nous avons une vue superbe. Nos journées sont réglées, Baignade pour nous, plongée pour Youen. Le galurin se dépense tellement qu’il fait 2 siestes par jour. Les moustiques le laissent tranquille , au mouillage il y en a peu. Le dernier jour, Notre fils se paie un bronzage shorti, très original, un peu rouge quand même qui nécessitera une crème pour les brûlures. Et dans une eau à 28 ° on ne se rend pas compte.

Nous revenons à la marina pour qu’ils profitent un peu du tourisme sur Basse Terre. Nous allons aux chutes du Carbet, qui nous accueillent sous des trombes d’eau, impossible d’y monter, les gens qui reviennent sont à passer à l’essoreuse. 2 jours après ce sera possible, les hommes profitent d’un bain chaud à 30 ° et à la suédoise, d’un bain froid. Emerik s’y refuse absolument, et retourne au bain chaud, chouette balade dans une forêt humide, très luxuriante.

Le lendemain, temps incertain, nous allons au zoo des mamelles avec accrobranche en face ? Vu que le temps est vraiment pluvieux, nous ne disons rien à Emerik. La surprise ne sera que meilleure. Je dois dire que je n’ai jamais vu un zoo aussi bien conçu. Bon, il y a le climat, la forêt est arrosée, les animaux nous paraissent heureux. L’aménagement se fait au milieu des arbres, la volière paraît naturelle, on distingue à peine le grillage. Seuls les singes paraissent dans un environnement moins naturel, avec des vitres. D’ailleurs Emerik fait une réflexion qui nous fait rire et penser qu’il nous écoute quand on lui fait une remarque. Mamé, Papa, le singe, il fait le Mérou…

Puis dernier bain, dernière plongée récréative dans la grande mer, balade avec Papo sur les jeux qui longent la plage, valises à faire pour contenter nos proches et vider un peu les équipets du kan er mor puis départ pour l’aéroport de pointe à Pitre avec pleins de bons souvenirs dans les têtes.

Quelques navigations le long de la côte sous le vent et aussi bien sûr visite de quelques sites sur les hauteurs : le zoo, la chute du Carbet, grosse corde, les bains jaunes …

Nous nous sentons bien ici en Basse terre. Ce ne sont pas les ballades qui manquent. Le long de la côte sous le vent, le bord de mer est plus sec, la végétation différente sur les hauteurs.

Mais originalité des rencontres, JM aide notre voisin à amarrer son bateau et nous voilà gardiens de leur villa et de la ménagerie Le Braz, petit intermède terrien, à Trois Rivières dans un cadre idyllique, les Saintes à l’horizon, un jardin comme je les aime, sauvage, avec une variété de palmiers des cocotiers et une liane qui donne les graines œil de bœuf.

Chez-Marie-et-Pierre-les-Saintes-tout-au-fond

Chez-Marie-et-Pierre-les-Saintes-tout-au-fond

un-des-gardiens

un-des-gardiens

 

 

 

 

 

 

 

Que-fait-il ?

Que-fait-il ?

Râpe-de-la-noix-de-coco

Râpe-de-la-noix-de-coco

Nous n’allons pas vous narrer toutes nos randonnées, mais essayer de vous donner un aperçu de cette immense montagne qu’est la Basse Terre. Elle culmine au sommet du volcan actif de la Soufrière à 1467 mètres, le plus élevé des petites Antilles. Ce massif est en partie couvert d’une forêt dense et riche, or lors de notre ascension de la Soufrière en 1982, nous avions le souvenir d’une montagne pelée, désertique, lunaire, l’éruption de 1976 n’était pas loin.

L’île aux belles eaux, c’est très rare qu’en ballade on n’accède pas à une chute d’eau, un bassin, de nombreuses rivières.

Du bord de mer aux cimes, quatre zones se succèdent : la végétation sèche du littoral, la végétation humide du littoral ( mangrove et forêt marécageuse), la forêt dense et humide, la végétation d’altitude au dessus de 1000 m d’altitude.

La forêt dense est la mieux conservée des petites Antilles, pour mieux la sauvegarder, une partie du massif forestier a été classée Parc national en 1989.

Un réseau de 2OO km de sentiers appelés « traces » facilite le contact avec la nature. Ces traces ont été ouvertes pour pénétrer au sein d’un milieu hostile, mais plein de ressources, par les chasseurs et soldats qui furent les premiers à explorer le massif de basse terre. Les esclaves en fuite y percèrent plusieurs pour rejoindre les camps clandestins où ils se réfugiaient. L’une d’elle appelée trace des contrebandiers servaient au trafic du rhum et du tabac.

En forêt tropicale humide, ce qui frappe le plus c’est l’enchevêtrement spectaculaire de lianes qui montent vers la lumière et les plantes épiphytes, ces centaines d’espèces de plantes suspendues utilisant le support des arbres et de leurs branches pour se développer, auxquelles elles sont accrochées, sans jamais se nourrir des arbres sur lesquels elles reposent, mais je préfère dire qu’elles s’enlacent,se délacent, se prélassent avec volupté et en très bonne harmonie, et je me mets à rêver que les hommes pourraient en faire autant. On y trouve l’ananas-bois, les siguines, le tillandsia, certaines orchidées, et la reine de cette forêt, c’est la fougère, 270 espèces quand même. On rencontre aussi des orchidées, surtout la Spathoglottis plicata originaire d’Asie, violette. Il y aurait 9O espèces. Ici tout est gigantesque, philodendron, caoutchouc, mangle . Les arbres ont un réseau de racines impressionnantes  qui affleurent le sol, de vraies sculptures , qui très souvent nous servent de marches pour grimper vers les sommets. Celles du gommier rouge, à l’écorce aux superbes teintes , sont très fournies et importantes et l’arbre est souvent loin du sentier, il faut dire que la nature fait bien les choses car il faut s’accrocher pour tenir sur ce terrain, pentu, la pluie ravinant, sans parler du vent.  D’ailleurs après, une  forte  pluie, une onde tropicale forte, la trace  nous montre un visage différent, (arbre, branches jonchant le sol boueux, érosion du sol) l’entretien est énorme, les traces peu entretenues. Quelquefois, sur le sentier, une plante épiphyte est tombée, souvent énorme et en évaluant le poids, on se dit que cela aurait pu faire mal. La forêt tropicale humide est muette,on entend quand même le « toto bois » ( un pic noir, endémique à la guadeloupe)  les bruits commencent à la tombée de la nuit. Seule la forêt des mamelles nous a accueillis avec une belle musique.

On fait souvent de l’acrobranche ou de l’acroracine, mais que ne ferait- on pas pour arriver au sommet et le plaisir d’un bon bain frais dans un bassin, où l’eau d’une cascade arrive après deux heures d’effort. Cela efface les efforts et on redescend, en pleine forme.

Parfois, après une période de pluie, sur ces traces, nous rencontrons des insectes pas très sympas. Il faut dire que les moustiques de toute façon sont présents toute la journée, mais plus particulièrement la nuit et le matin. Dans la journée, ils nous laissent à peu près tranquilles. Ils préfèrent certains individus. Je suis de ceux là, mais cela arrive à JM de se faire câliner par eux. Le soir, Safari aux moustiques. Rien n’y fait. J’ai tout essayé huiles essentielles, piège à eau sucrée, produit anti-moustique et pour finir bombe raid, aucun effet. Moustiquaire sur les panneaux, condamnant la couchette, Torpen entrant et sortant sans arrêt, les moustiques rentrent, sans souci. Une caissière nous disait, ce n’est pas la peine, ils sont devenus résistants à ces produits. Vous les parfumez.

Nous sommes tous piqués, mais deux fois ont été difficiles à supporter. Lors de la promenade des étangs, c’est JM qui a eu leur honneur et Lors d’une marche de 7 heures, après une onde tropicale, la descente a été pour moi, « piquante ». Là ce ne sont pas des moustiques, mais des mouches café. En marchant sur les feuilles mouillées, je les ai « réveillées » et elle se dont données à cœur joie : JM me disait le soir, elles ont oublié de mettre «  découper, suivant le pointillé ». Seul souci, c’est que cela gratte et s’infecte, et les traces sont encore là ,après plus d’un mois.

De décembre à juin, lors de nos promenades, nous ne voyions que peu de fleurs , mais de juin à décembre, les fleurs sont plus nombreuses.

La vieille dame

Les Gwadas ne comprendraient pas que je ne parle pas de leur vieille dame, la Soufrière. C’est le volcan le plus emblématique des Antilles dont la dernière crise sismo volcanique date de l976-77

Le point culminant des petites Antilles à 1467 mètres, c’est l’un des volcans les plus actifs de la région. Celle qu’on appelle la vieille dame est pourtant de constitution récente : Elle connaît depuis 13 OOO ans des crises éruptives régulières toutes phréatiques, c’est à dire concrétisées par de violentes émissions de vapeur, de cendre et de roches sans apparition de magma en surface. La première éruption décrite date de 1696, la dernière qui dura 8 mois de juillet 76 à mars 77, fut une des plus violentes qui provoqua l’évacuation de 70 000 personnes. La vieille dame est sous haute surveillance. En s’y promenant on aperçoit des stations d’observations permettant d’étudier les déformations géographiques, d’être à l’écoute de son activité sismique et de connaître les modifications chimiques des gaz qui circulent à l’intérieur du volcan. Comme je le disais plus haut, nous y sommes montés en 1981 et nous avons le souvenir d’une montagne pelée, sans végétation, un petit désert. Aujourd’hui, lors de notre première ascension au mois de juin 2O16, sous la pluie et vent, nous avions une végétation sur la grande faille avec des sphaignes marrons dorées, alors qu’au mois de septembre, ces même sphaignes sont vertes. Cette deuxième ascension s’est faite alors que la soufrière nous montrait un visage très ensoleillé, ce qui loin d’être toujours le cas. En passant par le col de l’échelle, nous avons vu le gros rocher fendu, reste de l’éruption de 1976. Nous avons ce jour une vue magnifique sur les Saintes, la Dominique, Marie Galante et même Pointe à Pitre. Nous avons pu admirer les ananas sauvages rouges ou jaunes, les orchidées violets ou blancs, les lycopodes, les algues filamenteuses qui sont apparues il y a 550 000 millions d’années de couleur verte à l’origine, elles virent à l’orange par accumulation de carotène, . . Elles colonisent les pierres, les écorces.

.JM termine cette randonnée, aux bains jaunes, par un bain sulfaté et sulfuré aux propriétés anti-rhumatismales , rien que cela.

Bien entendu, nous faisons ces ballades surtout pendant la saison cyclonique, en écoutant la météo, aujourd’hui, le 7 octobre 2O16, nous en sommes à 39 alertes d’ondes tropicales. Une seule pour l’instant a été forte avec des rafales de vent à 16O Km/h en Martinique, en Basse Terre, de fortes pluies, du vent, mais pas plus que lors de nos tempêtes Bretonnes, par contre, pendant quelques jours nous avons eu une très forte houle avec une alerte orange. Hier et aujourd’hui, nous avions donc la trente neuvième alerte, mais finalement, rien de bien méchant, si ce n’est de fortes pluies, et de ce fait , un bien être, avec une diminution de la chaleur.

Nous profitons de ce temps hivernal pour visiter, le parc botanique de Basse Terre, rien de bien marquant, peu d’espèces, mal entretenu, par une armée d’employés très peu motivés.

Par contre le parc botanique de Deshaies au nord ouest de l’île est magnifique, bien entretenu, il offre plus de mille espèces végétales, sans compter une  grande richesse au niveau arbres.

Guy Blandin pépiniériste passionné a ramené de ses voyages aux quatre coins du monde, des graines qu’il a fait germer dans sa propriété de près de 7 hectares. Il faut savoir que plus de 5O % de la flore n’est pas endémique en Guadeloupe. Coluche achète une partie de la propriété. Un de ses amis Pépiniériste implante en Guadeloupe une pépinière pour alimenter son entreprise parisienne. Le 18 juin 1985, Coluche demande à cet ami, Michel Gaillard de s’occuper et d’entretenir sa propriété en échange de terre pour agrandir sa pépinière. Un an plus tard, Coluche décède. Michel Gaillard rachète la propriété en 1991. S’en suit l’idée d’y réaliser un jardin pour faire profiter le plus grand nombre de la richesse de cette flore. La réalisation de ce parc mettra 11 mois avec 45 employés, tous de Deshaies. Architecte Didier Rouselle, concepteur Michel Gaillard. Ouvert en 2OO1, sur un parcours d’l,km 5, bien conçu, car il permet de voir toutes les espèces qui sont identifiées, il offre un vrai régal de fleurs tropicales : bougainvilliers, rose de porcelaine, orchidées, fleurs de balisiers, une grande variété de fougères, bambous, sans oublier des arbres remarquables : baobab, Mapou, Gommier, arbre à Saucisson, arbre à pain, Palmiers, Bonnet de l’évêque, arbre à canon etc. Une initiative privée, un parc entretenu. Un vrai moment de bonheur pour qui aime la flore.

Cette  longue escale en Guadeloupe nous permettra de mieux connaître les Guadas, d’apprécier leur cordialité, d’approfondir leur façon de vivre : pique nique dominical dans les carbets, papotage en prenant le bain à Rivière Sens, souvent avec chapeau et lunettes de soleil, nous participons je l’avoue à Radio plage lors de nos longues baignades.

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2 réflexions au sujet de « En Guadeloupe »

  1. Raymond

    Bonjour les amis,
    Un grand merci pour votre reportage avec cette belle visite des plus beaux recoins de la Guadeloupe : elle semble avoir été bien préservée !
    La saison cyclonique touche à sa fin, vous allez pouvoir reprendre la navigation. Allez encore un bon mois puis le carénage pour enfin larguer les amarres. Quels sont vos projets ? Refaire un petit tour vers le Sud ou reprendre la route du nord, avec Antigua, St martin…
    Amitiés de Bretagne,
    Raymond

    Répondre
  2. Denise

    Bonjour à vous et merci pour votre superbe billet et splendides photos. C’est de toute beauté et quel beau voyage sur le flots. Le petit a dû être enchanté 🙂
    Profitez encore bien et belle continuation.
    Mes amitiés

    Répondre

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